Chronologie complète de la dissimulation par le PCC de la pandémie de COVID-19 (2)

Lis tout

Bonjour, tout le monde. Contente de vous revoir.

Lors de notre dernier épisode, nous avons discuté de ce qui est arrivé au mois de décembre 2019 avant la pandémie de coronavirus, ou plutôt du CCP Virus, en Chine. Nous avons mentionné que lors des derniers jours du mois de décembre, la découverte d’un nouveau virus semblable au SRAS par trois différents laboratoires chinois, qui fut ensuite rapporté aux hôpitaux respectifs et aux autorités. Un chercheur avait averti qu’un ”grave problème de santé publique” se manifesterait.

Le 1er janvier 2020, alors que des célébrations en vue de la nouvelle décennie avaient lieu, bien des choses irrégulières se passèrent à Wuhan.

En premier lieu, le HUANAN SEAFOOD MARKET, qui était la source présumée de la COVID-19, ou plutôt encore de l’éclosion du CCP Virus, fut fermée et nettoyé, sans qu’un écouvillonage individuel de chaque animal ou de leur cage ne soit effectué, sans non plus qu’une analyse sanguine des ses employés ne soit effectué, et même sans avoir vérifié si certains d’entres eux auraient pu être infectés.

Guan Yi, un des meilleurs virologues Hongkongais, dont la recherche sur le SRAS en 2004 permit au gouvernement chinois d’endiguer l’éclosion, a plus tard critiqué cette démarche du gouvernement chinois. Il se rendra à Wuhan avec son équipe les 21 et 22 janvier, dans l’espoir de retrouver l’animal étant la source du virus, mais quitta les lieux sans faire de découverte. Il dit plus tard à un journaliste ”[qu’]il n’y avait pas de scène de crime”.

Il a également averti que cette épidémie du coronavirus de Wuhan pourrait être 10x pire que celle du SRAS en 2004.

Le même jour, le Wuhan Public Security Bureau (Bureau de la Sécurité Publique de Wuhan) émis des lettres de convocation au docteur Li Wenliang, l’accusant de ”répandre des rumeurs”. Deux jours plus tard, à une station de police, Dr Li signa un avis acquiessant son ”délit” et promettant de ne plus commetre ”[d’]actes illégaux”. Sept autres personnes furent aussi arrêtés sur des bases similaires et leurs destins demeurent inconnus.

Encore cette même journée, après que plusieurs lots de résultats de séquençage de génome aient été renvoyés aux hôpitaux et aux autorités médicales, un employé d’une compagnie de génomique reçu un appel d’un membre officiel de la Hubei Provincial Health Commission (Commission de la Santé de la Province du Hubei), ordonnant à la compagnie de cesser l’analyse des échantillons provenant de Wuhan liés à la nouvelle maladie, ainsi que de détruire tous les échantillons existants.

Selon une étude des données téléphoniques de la Chine par le New York Times, 175000 personnes ont quitté Wuhan ce jour-là. Selon la firme de recherche de transport global OAG, 21 pays possèdent des vols allant directement à Wuhan. Pour comparer, durant le premier quart de l’année 2019, 13267 passagers avaient voyagé de Wuhan vers les États-Unis, soit environ 4422 par mois.

Aussi, selon une étude publiée dans The New England Journal of Medicine (le Journal de Médecine de la Nouvelle-Angleterre), sept employés médicaux furent infectés entre le 1er et le 11 janvier (voir la table 1), huit furent infectés entre le 12 et le 22 janvier. Les auteurs de cette étude sont des chercheurs de la CDC de Chine (centre pour la prévention de maladies). Cela signifie que des experts et des chercheurs chinois savaient déjà à ce stade qu’une transmission interhumaine existait; sinon, les employés médicaux n’auraient pas été infectés.

Cependant, personne n’a averti le public.

Le 2 janvier, le Wuhan Institute of Virology (l’Institut de Virologie de Wuhan) avait complètement séquencé le génome du virus. Cependant, le Parti Communiste de Chine (CCP) n’annonce pas cette percée avant une autre semaine.

Ce même jour, Wang Yanyi, directeur de l’Institut de Virologie de Wuhan, émis via message téléphonique aux chercheurs un avis par la Commission de la Santé de la Chine (China’s Nation Health Commission), interdisant à quiconque de révéler quelconque information liée à l’épidémie à aucune compagnie médiatique; aucun test, aucune donnée de laboratoire, aucun résultat et aucune conclusion. Les chercheurs fûrent également interdits de partager de l’information sur les réseaux sociaux, ni à quiconque possédant un compte sur une telle plateforme.

Un autre événement étrange survenu le 2 janvier : alors que personne ne connaissait encore la nature de cette pneumonie de cause inconnue, une université militaire à Wuhan, la Naval University of Engineering émis un avis de confinement et débuta un système de contrôle stricte de l’entrée de personnes venant de l’extérieur : les visiteurs avaient besoin d’une permission spéciale, en plus que leur température doit être prise à l’entrée de l’école. Quiconque ayant une température excédant 38 degrés C se voyait interdit d’entrer. Veuillez noter que cela se passe 18 jours avant que le PCC admette qu’une épidémie existait et 21 jours avant le confinement de Wuhan. Pourquoi est-ce qu’une université militaire a pris de telles mesures de si tôt? C’est une question devant être posée.

Toujours le même jour, Dr Ai Fen de l’Hôpital Central de Wuhan (qui était parmi les premiers à informer d’un ”virus SRAS-esque contagieux” dans un groupe de Chat virtuel), fût confrontée par son superviseur, qui la réprimande de manière ”très dure et sans précédent”.

Ai Fen a dit, suite à cette discussion, qu’elle souffra d’une dépression nerveuse, et qu’elle ne parla à personne lui posant des questions.

Le 3 janvier, la Commission de la Santé de la Chine (China’s National Health Commission) émis une obligation de silence nationale, interdisant aux instituts de procurer des échantillons biologiques ou quelconque information à quelconque autre institution ou individu. Tous les instituts et les individus possédant déjà des échantillons devaient les détruire immédiatement, ou les remettre aux instituts désignés. Même l’Institut de Virologie de Wuhan fut exigé de cesser tout test pathogénique et de détruire les échantillons déjà acquis.

Le même jour, la police locale appela le Dr Li Wenliang afin de le réprimander pour avoir ”répandu des rumeurs”.

Toujours le même jour, la Commission de la Santé de Wuhan (Wuhan Health Commission) émis une notification indiquant que 44 cas de pneumonie de cause inconnue avaient été détectés, mais qu’il n’y avait aucune preuve que cette maladie se transmettait d’humain à humain.

Le même jour, le Singapour annonça que les passagers provenant de Wuhan verront leur température être prise à l’entrée au pays.

Enfin, toujours le 3 janvier, le professeur Zhang Yongzhen de l’Université Fudan à Shanghai reçu par train des échantillons biologiques emballés dans des boîtes métalliques contenant de la glace carbonique de la part de l’Hôpital Central de Wuhan.

Le 4 janvier, le premier groupe d’experts de la Commission Nationale de la Santé de la Chine (China’s National Health and Medical Commission) déclara publiquement que ”jusqu’à présent, aucun signe évident de transmission inter-humaine n’a été trouvé”.

Le même jour, Hong Kong activa son niveau de ”réponse sérieuse” face à l’éclosion. Alors que les autorités du PCC continuaient d’insister que le virus ne se transmettait pas entre humains, la tête du Centre des Infections de l’Université de Hong Kong, Ho Pak-leung, avertissait que ”la ville devrait implanter le système de surveillance le plus stricte possible pour veiller sur une nouvelle pneumonie virale, qui avait infecté des douzaines de personnes en Chine continentale, puisqu’il est fort possible que cette maladie se transmette entre humains”.

Le 5 janvier, Professeur Zhang Yongzhen de la Clinique Publique de Shanghai (Shanghai Public Health Clinical Center) avait également identifié le nouveau coronavirus SRAS-esque via séquençage d’ADN, et fournit la séquence du génome du nouveau virus à la Commission de la Santé Municipale de Shanghai (Shanghai Municipal Health Commission) ainsi qu’à la Commission Nationale de la Santé de la Chine (China’s National Health Commission), les avertissant que le nouveau virus était similaire au SRAS, et qu’il se transmettait par voie respiratoire. Cela provoqua une seconde réponse d’urgence de la part du Centre Chinois pour la Prévention des Maladies (CDC) le jour suivant.

Toujours le 5 janvier, l’OMS émis une déclaration mentionnant que ”le 31 décembre 2019, le bureau de la Chine de l’OMS fut informé des cas de pneumonie de cause inconnue détectés à Wuhan”.

La même journée, la Commission Municipale de la Santé de Wuhan (Wuhan Municipal Health Commission) cessa de publier des mise-à-jours quotidiennes les nouveaux cas détectés.

Le 6 janvier, selon le Dr Lv Xiaohong de l’Hôpital No. 5 de Wuhan, l’hôpital commençait à débordé de patients. Les départements d’urgence et de respiration étaient les deux surchargés le 10 janvier, et devaient cesser d’accepter de nouveaux patients. Après le 10 janvier, les nouveaux patients devaient être envoyés à d’autres départements. Les travailleurs médicaux n’avaient pas à porter d’équipement de protection, et les patients étaient libres de circuler entre les départements de l’hôpital. Dr Lv a dit que tout ça a contribué à l’accélération de la propagation du virus.

Toujours le 6 janvier, la CDC des États-Unis émis une alerte-voyage de niveau 1 – le plus bas des trois niveaux possibles – quant à l’éclosion en Chine, en raison de la cause du virus et le mode de transmission demeurant inconnus. On avisait aux voyageurs se rendant à Wuhan d’éviter quelconque animal, marché vendant des animaux, ou d’être en contact étroit avec une personne malade.

La CDC a également offert d’envoyer une équipe en Chine pour assister avec leur investigation de l’écclosion, mais le Parti Communiste de Chine (CCP) refusa. Une équipe de l’OMS, qui inclut deux Américains, visita plus tard, le 16 février.

Le 7 janvier, Dr Li Wenliang, qui fut le premier lanceur d’alerte de la maladie, contracta lui-même le virus.

C’est aussi la date à laquelle celui à la tête du CCP, Xi Jinping, annonça plus tard qu’il commençait personnellement à surveiller l’effort de contrôle de la Chine.

En même temps, les gens de Hong Kong achetèrent rapidement des masques suite au nombre de cas détectés à Hong Kong grimpant à 30.

Le 8 janvier, la Commission de la Santé de la Chine (China’s Health Commission) confirma qu’un nouveau type de coronavirus était la cause de cette maladie, alors qu’un nombre de travailleurs médicaux à l’Hôpital Union à Wuhan avaient déjà été infectés un à un.

Cependant, les autorités affirmaient et les médias occidentaux continuaient de répéter ”[qu’]il n’y a aucune preuve de que ce nouveau virus se transmette entre humains, ce qui l’aurait rendu particulièrement dangereux, et il n’a pas été associé à aucune mort”.

Un avis officiel de l’OMS déclara : ”L’identification préliminaire du nouveau virus en une si courte période de temps est un accomplissement notable et démontre la capacité élevé de la Chine à contrôler des nouvelles épidémies… l’OMS ne recommande aucune mesure de sécurité particulière pour les voyageurs. L’OMS avise contre l’application de restrictions quant aux voyages vers la Chine, basé sur l’information présentement disponible”.

Le même jour, le premier cas soupçonné apparu en Corée du Sud.

Le 9 janvier, Xu Jianguo, un expert parmi l’équipe de réponse, a annoncé aux médias d’état chinois que des chercheurs avaient découvert le séquençage entier du virus deux jours plus tôt, et avaient conclu qu’il s’agissait d’un nouveau virus.

L’OMS a également émis un avis par rapport à la situation à Wuhan, suggérant qu’un nouveau coronavirus était la cause.

Le même jour, Wang Yuedan, professeur à l’Université de Beijing, annonça sur une station de radio hongkongaise que selon l’éclosion de SRAS en 2003, il y avait une forte possibilité que ce nouveau coronavirus soit transmissible entre humains.

Toujours le même jour, Dr Ai Fen fut exigé de commencer à distribuer des masques aux patients et de leur demander de le porter, après avoir vu un patient tousser vers les autres, malgré le fait que la croyance populaire était que cette maladie n’était pas contagieuse.

Le 10 janvier, le second groupe d’expert envoyé à Wuhan annonça aux médias que selon la situation actuelle, l’épidémie était ”évitable et contrôlable”.

Lors d’une entrevue avec le média chinois Caijing publiée le 26 février, un expert de la même équipe révéla que les hôpitaux et les autorités locales avaient caché aux membres de l’équipe le fait que certains membres du personnel médical étaient déjà infectés. Lorsque les experts avaient demandé s’il y avait des infections connues parmi le personnel, les autorités locales leurs avaient dit non. L’expert dit au journaliste de Caijing : ”Ils ne nous ont pas dit la vérité. Depuis le début, ils nous mentent”.

Toujours le même jour, le New York Times cita la déclaration de la Commission de la Santé de Wuhan (Wuhan City Health Commission) comme quoi ”il n’y a pas de preuve que le virus se répande entre humains”.

En même temps, les docteurs chinois continuaient de découvrir des cas transmis parmi leurs membres de famille, ce qui allait à l’encontre des déclarations officielles de la commission de santé de la ville.

Encore le même jour, la migration massive du Nouvel An Chinois débuta. En Chine, chaque année, des centaines de millions de personnes voyagent d’une ville à l’autre pour visiter leur famille durant le Nouvel An Chinois; on l’appelle la plus importante migration annuelle d’humains au monde. Durant lequel, absolument aucune mesure de prévention de maladie n’a été adopté à quelconque endroit, incluant à la station de train de Hankou, à Wuhan, qui se trouve à un kilomètre de l’épicentre, ainsi que les autres stations de trains majeures dans les autres grandes villes. Des foules de personnes voyageaient en proche proximité les uns sur les autres, propageant le virus dans toutes les directions.

Le 11 janvier, les autorités médicales chinoises partagèrent le séquençage du génôme avec l’OMS. Et à Wuhan, plusieurs furent peinés par la nouvelle de la mort d’un homme de 61 ans liée au nouveau virus, déclarée par la Commission Municipale de la Santé de Wuhan (Wuhan Municipal Health Commission). Il fut la première victime de quelque chose ne possédant même pas de nom. Et le CCP continua de maintenir son silence.

Toujours le 11 janvier, les deux conférences du CCP débutèrent à Wuhan, d’une durée totale de sept jours. Ces deux conférences, appelées ”Lianghui” en Chinois, réfèrent aux conférences du Congrès du peuple (People’s Congress Conference) et celle de la Consultation politique du peuple chinois (Chinese People’s Political Consultative Conference). Elles sont considérées comme les deux conférences politiques annuelles les plus importantes en Chine.

Lors de ces deux conférences, le coronavirus ne fut aucunement mentionné.

Lors d’une de ces conférences, les autorités médicales de Wuhan reportèrent une diminution du nombre de cas d’infections, de 44 (le 3 janvier) à 41. La Commission de la Santé de la Ville de Wuhan (Wuhan City Health Commission) émis une mise-à-jour déclarant, ”aucun nouveau cas n’a été détecté depuis le 3 janvier 2020. À présent, aucune infection n’a été détectée parmi le personnel médical, et aucune preuve claire de transmission entre humains n’a été trouvée”.

Durant les sept journées de ces conférences, aucun nouveau cas n’a été reporté.

En effet, après que les deux plus importantes conférences soient terminées, le 17 janvier, le nombre de cas total à Wuhan demeura à 41. Il n’a jamais augmenté depuis le 3 janvier. Simultanément, des régions et pays avoisinants ont découverts des cas, tel que Hong Kong, Vietnam, Singapour, Thaïlande, Japon, Corée du Sud, et autres. Plusieurs internautes chinois à cette époque blaguaient que puisque le virus ne s’était pas répandu à l’extérieur de Wuhan mais qu’il s’était répandu dans d’autres pays, qu’il s’agissait d’un ”virus patriotique”. À ce stade, le nombre de cas global aurait dû avoir surpassé 1700, selon une étude par un expert au Royaume-Uni. Il était donc très évident qu’afin de maintenir une ”bonne atmosphère” pour les conférences politiques, le CCP avait délibérément caché les vrais nombres.

Toujours le même jour, l’équipe de recherche du professeur Zhang Yongzhen partagea la séquence complète du génôme du virus sur les sites web Virologic.org et GenBank, et devinrent la première équipe au monde à publier la séquence du virus. Cette information permis ensuite aux chercheurs de développer des kits de tests pour le virus, ce qui fut d’une grande importance.

Cependant, le lendemain (soit le 12 janvier), le laboratoire de Zhang Yongzhen à la Clinique de Santé Publique de Shanghai fut fermé pour ”rectification”.

Aucune raison n’a été donnée quant à la fermeture du laboratoire. Un interne à la clinique a dit au South China Morning Post que ”la découverte a grandement affecté la recherche des scientistes alors qu’ils étaient dans une course contre la montre pour tenter de contenir l’éclosion du nouveau coronavirus”.

À ce stade, nous pouvons dire que les mêmes erreurs et les mêmes tragédies continuent de se produire, comme à la fin de décembre : les résultats scientifiques sont constamment cachés, soit par ignore, par arrogance et complexe de pouvoir, ou peut-être pour une raison plus sinistre que le CCP cache, et le résultat est celui auquel nous faisons face aujourd’hui : une calamité globale sans précédent. Je crois que personne ne peut saisir la signification de cette calamité jusqu’à présent.

Arrêtons nous ici avant de discuter la suite des choses.

Merci d’avoir écouté. La vérité sauve des vies. Alors s’il-vous-plaît, abonnez-vous à ma chaîne et partagez-la.

Merci et à la prochaine.

6/20/2020

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