(Lis tout)
(Les versions anglaise et chinoise sont disponibles ici, avec des liens vers des références. )
Cliquez ici pour regarder la vidéo:
Bonjour, mon nom est Jennifer Zeng. À partir d’aujourd’hui, je débute une série sur YouTube s’intitulant ”Inconvenient Truths by Jennifer Zeng” (Vérités incommodes par Jennifer Zeng). Je souhaite partager certains faits réels à propos de la Chine et du monde, ainsi que certaines de mes vues personnelles. Durant la pandémie de coronavirus, nous avons appris, hélas d’une manière très amère, que notre futur et notre destin dépendent de nos actions et décisions présentes, et à quel point il est important que nous détenions de l’information véridique afin de prendre les bonnes décisions.
En d’autres mots, que nous ayons cette information véridique ou pas est ce qui décidera du futur et du destin de nos nations, ainsi que le notre.
Nous savons tous que la COVID19, ainsi que la pandémie, a débuté à Wuhan, en Chine. En tant que chinoise ayant jadis résidé en Chine pendant 35 ans, j’ai l’avantage de connaître le pays, la langue, le peuple ainsi que la culture. J’ai déjà travaillé pour le Centre de Recherche et Développement du Conseil du Peuple de la République Démocratique de Chine (Development & Research Center of the State Council of People’s Republic of China). Il s’agit de l’institution gouvernementale du plus haut niveau quant à la recherche et à la consultation sur les politiques. Donc vous pouvez me considérer comme une ”interne” de la Chine.
Alors, en tant qu’interne de la Chine, j’ai l’avantage de pouvoir faire du sens et de juger l’information à propos de la Chine, ou encore l’information sortant de la Chine. J’espère donc pouvoir apporter de l’information utile et de valeur à propos de la Chine au reste du monde. Je crois réellement que la vérité peut sauver des vies. C’est la raison pour laquelle j’ai débuté ce programme. J’espère que vous le trouverez utile et qu’il vous aidera.
Le premier programme auquel je me consacrerai sera la chronologie du plus grand problème nous affectant tous : la pandémie de coronavirus, ainsi que l’histoire de dissimulation du régime communiste de Chine — du Parti Communiste de Chine, le PCC. Alors que le PCC tente de réécrire l’histoire, nous devons d’abord remettre les pendules à l’heure. Ce serait non seulement utile pour lors de notre combat actuel contre ce désastre, mais aussi bien nécessaire autant maintenant que dans le futur proche, lorsque l’humanité tentera de tenir le PCC responsable pour ce désastre qu’il a imposé sur l’humanité.
Commençons à l’instant.
Selon l’information que nous possédons actuellement, le premier cas de coronavirus, ou, appelons-le dorénavant le CCP Virus — car ce nom tient responsable le PCC des souffrances et tragédies que nous partageons maintenant — selon une publication par le South China Morning Post, le premier cas du CCP Virus a été confirmé le 17 novembre 2019.
Le 1er décembre,selon une étude dans le journal The Lancet, ”la date d’apparition des symptômes du premier patient identifié était le 1er décembre 2019. Ce patient avait été exposé au Huanan Seafood Market (”marché de fruits de mer de Huanan”), qui fut identifié comme un point d’origine de la pandémie du CCP Virus.
L’étude par The Lancet poursuit en disant que ”cinq jours après l’apparition des symptômes”, la conjointe du premier patient, ”qui n’avait aucune exposition connue au marché a également dû être hospitalisée en raison d’une pneumonie, et fût mise en isolation”. En d’autres mots, aussi tôt que la deuxième semaine de décembre, les docteurs de Wuhan étaient conscients de cas indiquant une transmission entre humains.
Le 15 décembre 2019, selon une investigation maintenant supprimée étant rédigée exclusivement en langue chinoise par le média Caixin, un livreur de 65 ans travaillant au marché de fruits de mer de Huanan présentait des symptômes de la fièvre. Trois jours plus tard, il se renda au département d’urgences de l’Hôpital Central de Wuhan pour consulter un docteur.
Cela corrobore les constations de la docteure Ai Fen. Dr Ai Fen est la directrice du département d’urgences de l’Hôpital Central de Wuhan. Elle dit qu’aussi tôt qu’en date du 16 décembre, un(e) patient(e) ayant une haute fièvre pour ”des raisons inconnues” s’était rendu(e) au département d’urgences pour être traité(e).
Puis, le 21 décembre, les docteurs de Wuhan ont constaté un groupe de cas de pneumonie sans cause connue.
Ensuite, selon le média chinois Caixin, Professeur Zhao Su, le médecin-chef du Département de la Médecine Respiratoire de l’Hôpital Central de Wuhan, un échantillon d’un de ces patients fut envoyé à une agence tierce-partie nommée ”Guangzhou Weiyuan Gene Technology Co.” afin d’effectuer une analyse génétique.
Le 25 décembre 2019, selon la docteure Lu Xiaohong, directrice du département des maladies du système digestif à l’hôpital #5 de Wuhan (No. 5 Hospital), du personnel médical de deux hôpitaux de Wuhan étaient des cas présumés d’avoir contracté une pneumonie viral et ont été mis en quarantaine. Il s’agit là d’une autre preuve convaincainte de transmission entre humains.
Le 26 décembre 2019, selon le docteur Zhang Jixian, directeur du département de la médecine respiratoire et des soins intensifs de l’hôpital de Xinhua (province du Hubei), ce jour-même, elle a elle-même reçu quatre patients qui présentaient une ”pneumonie de cause inconnue” consécutivement.
Le 27 décembre est une date très importante : ce jour-même, le docteur Zhang Jixian rapporte à l’hôpital et au centre de prévention des maladies de Hanjiang à Wuhan que ”quatre patients avec une pneumonie de cause inconnue” ont été détectés.
Les 28 et 29 décembre, trois patients avec des symptômes smilaires (pneumonie virale) furent admis à l’Hôpital de Xinhua.
Xia Wenguang, director-député de l’Hôpital de Xinhua, convoqua des experts à une réunion, et tous étaient d’accord que les symptômes que présentaient ces patients étaient hors de l’ordinaire. Xia Wenguang rapporta cela directement aux commissions de la santé de la ville de Wuhan et de la province du Hubei, ainsi qu’au département de la santé publique de l’Hôpital Central de Wuhan. Le même après-midi, les commissions de la santé de la ville de Wuhan et de la province du Hubei notifièrent tous les centres de prévention de maladies (CDC) aux niveaux provincial, municipal et des districts.
Le 27 décembre, le résultat de Weiyan Gene Technology Co. fut dévoilé. Ils notifièrent par téléphone l’hôpital qu’il s’agissait d’un nouveau coronavirus. Le professeur Zhao Su a dit qu’à ce stade, le patient avait déjà été transféré à l’Hôpital Tongji de Wuhan.
Le résultat de ce test fut plus tard publié dans la version anglophone du Chinese Journal of Medical Sciences (journal chinois des sciences médicales) le 27 janvier, avec le titre “Identifying a Novel Coronavirus that Causes Severe Pneumonia in Humans: A Descriptive Study” (”Identifier un nouveau coronavirus causant une pneumonie sévère chez l’humain : une étude descriptive”).
Une autre source, publiée par le compte WeChat ”Winjor” le 28 janvier, discute de la même découverte dans un article nommé“A Record of Discovering the Novel Coronavirus First”. L’auteur indique qu’il travaillait dans une entreprise privée située à Huangpu dans la ville de Guangzhou, province de Guangdong. Le 27 décembre, leur laboratoire assembla quasi-complètement le séquençage du génome du virus, et ces données furent aussi partagées avec l’Institut des Pathogènes de l’Académie Chinoise des Sciences Médicales, affilié à l’état chinois.
L’article de Winjor indique : ”On peut essentiellement confirmer que l’échantillon de ce patient contient réellement un nouveau virus, similaire aux coronavirus SRAS des chauve-souris”.
”L’information obtenue à cette date était que le patient était retourné à sa ville de résidence et que la possibilité qu’il ait été en contact avec des chauve-souris ne peut être exclue. Après avoir réalisé la sévérité du risque potentiel, le laboratoire a été complètement lavé et désinfecté, les échantillons fûrent détruits sans danger, et les membres du personnel de cette opération expérimentale furent mis sous surveillance adéquate. Ils ont communiqué avec le docteur avant midi, et le patient fut également mis en quarantaine”.
De ce compte, on peut s’apercevoir que la laboratoire a saisi l’ampleur du problème. En conséquent, celui à la tête de la compagnie a communiqué par téléphone avec l’hôpital le jour-même avec le CDC de Wuhan le jour suivant, soit le 28 décembre. Il s’est même personnellement rendu à Wuhan les 29 et 30 décembre pour communiquer en personne avec l’hôpital et le CDC de Wuhan, et partagea avec eux les résultats de l’analyse.
Winjor dit dans cet article qu’il était très nerveux lorsque les résultats démontrèrent qu’il s’agissait d’un nouveau virus très similaire aux coronavirus SRAS de chauve-souris, et il prédit un ”grave problème de santé publique”.
Il dit, lorsqu’il réalisa qu’ils avaient possiblement découvert un nouveau virus, il était aussi nerveux qu’excité. Il était nerveux, car ce nouveau virus pourrait être aussi terrible que le SRAS; il était excité, car ils avaient identifié le pathogène très tôt et avaient isolé les patients et qu’il était donc possible d’éliminer le virus avant qu’il se répande!
Cependant, il se sentait très en colère, déçu et peiné que malgré leurs efforts ardus d’identifier le virus, le rapport officiel indiqua tout de même qu’aucune transmission entre humains n’avait été trouvée, et d’ensuite voir la situation se dégénérer et la nation entière devenir affectée. Ce n’est pas à cause d’un aspect scientifique ou technologique que les choses en sont venus ainsi, mais à cause des décisions du gouvernement ainsi que des faux rapports des médias.
Aussi le 27 décembre 2019, un homme de 41 ans nommé Chen s’est rendu à l’Hôpital Centrale de Wuhan pour être traité. Son échantillon (de test) fût envoyé à une autre entreprise nommée BEIJING BOAO MEDICAL LABORATORY pour être analysé.
Le 30 décembre 2019, l’Hôpital Central de Wuhan obtenu un échantillon d’un autre patient âgé de 41 ans, dont le surnom est aussi Chen. L’échantillon fut envoyé à Shanghai pour être analysé le 3 janvier. Nous discuterons des détails prochainement.
Le 30 décembre 2019, BEIJING BOAO MEDICAL LABORATORY renvoya au médecin le rapport de l’analyse de l’échantillon du patient, et le résultat s’agissait de ”SRAS coronavirus”. Un expert a plus tard rapporté à Caixin que ce résultat était une erreur, disant ”leur banque génétique n’est pas assez complète, ou n’a pas été revue, alors ils ont fait une petite erreur; en effet, ce n’est pas la même chose que le SRAS; c’est un nouveau type de coronavirus.
Cependant, à cause de cette erreur, le terme ”SRAS” avait attiré l’attention de plusieurs docteurs.
Le même jour, Dr Ai Fen, directeur du département d’urgence à l’Hôpital Central de Wuhan, partagea un rapport détaillant un contagieux virus SRAS-esque dans le groupe WeChat de son département. Elle a plus tard été réprimandée par l’hôpital pour avoir ”semé des rumeurs”.
Elle a également parlé à son collègue, le Dr Li Wenliang, qui est plus tard devenu un sonneur d’alerte de l’éclosion. Dr Li Wenliang était également un membre du Parti Communiste de Chine. Il avait écrit sur les médias sociaux que sept personnes avaient contracté le virus SRAS-esque. Il publia une analyse d’ARN qui montrait des coronavirus SRAS-esques ainsi que de nombreuses colonies de bactéries chez le patient.
Aussi le 30 décembre, circula sur internet une notification d’urgence émise par la Commission de la Santé de Wuhan disant que ”des patients avec une pneumonie de cause inconnue ont été trouvés dans certains instituts médicaux de la ville”. La notification ordonnait à tous les hôpitaux de rapporter toute information liée, mais interdisait aux instituts et individus de divulguer quoi que ce soit publiquement. La notification omettait quelconque mention de SRAS ou de coronavirus.
Le 31 décembre 2019, la Commission de la Santé de Wuhan nofitia le public de la pneumonie pour la première fois, mentionnant que 27 cas de ”pneumonie virale” avaient été détectés à Wuhan, et que ”l’investigation n’a jusqu’à présent démontré aucun signe évident de transmission inter-humaine et [qu’] il n’y a pas d’infection parmi le personnel médical”. C’est le contraire que ce que les docteurs travaillant avec les patients infectés à Wuhan avaient observé, et deux docteurs étaient déjà présumés avoir contracté le virus.
Le meme jour, une équipe d’experts de la Commission Nationale de la Santé fut envoyée à Wuhan afin de ”guider” l’effort de contrôle de l’épidémie.
Il vaut la peine de noter qu’alors que les gens à Wuhan étaient complètement ignorants au fait qu’une contagieuse épidémie fatale avait déjà apparu à Wuhan, Taïwan agit en premier. Comme réponse à l’épidémie de pneumonie ayant lieu à Wuhan, Taïwan initia le 31 décembre des mesures de contrôle afin de vérifier auprès des passagers venant de l’étranger leur température, leur historique de voyage, leur exposition à des cas connus, etc. dans un effort d’empêcher l’épidémie d’entrer à Taïwan.
Le développement de la situation a plus tard démontré que Taïwan fut un des pays les moins touchés par le CCP Virus, bien parce qu’ils ne ne faisaient pas confiance au Parti Communiste de Chine ni à l’Organisation Mondiale de la Santé; elle ne se fia qu’à ses propres informations pour guider ses prises de décisions.
Alors, en date du 31 décembre, la dernière journée de 2019, au moins neuf échantillons de patients avaient été récoltés afin d’être analysés, et les résultats ont aussi démontrés un novel coronavirus SRAS-esque. Ces résultats furent ensuite rapportés à leurs hôpitaux respectifs et également aux systèmes de la Health Commission et CDC (Center of Disease Control). Cependant, aucune mesure préventive ne fût prise.
Caixin (média) l’a mis ainsi : ”en regardant derrière, aux derniers jours de 2019 ainsi qu’au début de l’année 2019, on voit maintenant que c’était un moment crucial qui détermina le destin d’un nombre immesurable de personnes. Mais à ce moment, le public ne savait pas encore quelles conséquences ce virus nous apporterait dans le futur”.
OK, prenons une pause pour l’instant, et continuous de discuter ce qui se passa en 2020 dans notre prochain épisode. Merci d’avoir regardé cette vidéo, et s’il-vous-plaît vous abonner à ma chaîne et la partager, car la vérité peut sauver des vies dans ce moment critique et sans précédent de l’histoire humaine.
Merci et à la prochaine.
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Chronologie complète de la dissimulation par le PCC de la pandémie de COVID-19 (1)
(Lis tout)
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En d’autres mots, que nous ayons cette information véridique ou pas est ce qui décidera du futur et du destin de nos nations, ainsi que le notre.
Nous savons tous que la COVID19, ainsi que la pandémie, a débuté à Wuhan, en Chine. En tant que chinoise ayant jadis résidé en Chine pendant 35 ans, j’ai l’avantage de connaître le pays, la langue, le peuple ainsi que la culture. J’ai déjà travaillé pour le Centre de Recherche et Développement du Conseil du Peuple de la République Démocratique de Chine (Development & Research Center of the State Council of People’s Republic of China). Il s’agit de l’institution gouvernementale du plus haut niveau quant à la recherche et à la consultation sur les politiques. Donc vous pouvez me considérer comme une ”interne” de la Chine.
Alors, en tant qu’interne de la Chine, j’ai l’avantage de pouvoir faire du sens et de juger l’information à propos de la Chine, ou encore l’information sortant de la Chine. J’espère donc pouvoir apporter de l’information utile et de valeur à propos de la Chine au reste du monde. Je crois réellement que la vérité peut sauver des vies. C’est la raison pour laquelle j’ai débuté ce programme. J’espère que vous le trouverez utile et qu’il vous aidera.
Le premier programme auquel je me consacrerai sera la chronologie du plus grand problème nous affectant tous : la pandémie de coronavirus, ainsi que l’histoire de dissimulation du régime communiste de Chine — du Parti Communiste de Chine, le PCC. Alors que le PCC tente de réécrire l’histoire, nous devons d’abord remettre les pendules à l’heure. Ce serait non seulement utile pour lors de notre combat actuel contre ce désastre, mais aussi bien nécessaire autant maintenant que dans le futur proche, lorsque l’humanité tentera de tenir le PCC responsable pour ce désastre qu’il a imposé sur l’humanité.
Commençons à l’instant.
Selon l’information que nous possédons actuellement, le premier cas de coronavirus, ou, appelons-le dorénavant le CCP Virus — car ce nom tient responsable le PCC des souffrances et tragédies que nous partageons maintenant — selon une publication par le South China Morning Post, le premier cas du CCP Virus a été confirmé le 17 novembre 2019.
Le 1er décembre,selon une étude dans le journal The Lancet, ”la date d’apparition des symptômes du premier patient identifié était le 1er décembre 2019. Ce patient avait été exposé au Huanan Seafood Market (”marché de fruits de mer de Huanan”), qui fut identifié comme un point d’origine de la pandémie du CCP Virus.
L’étude par The Lancet poursuit en disant que ”cinq jours après l’apparition des symptômes”, la conjointe du premier patient, ”qui n’avait aucune exposition connue au marché a également dû être hospitalisée en raison d’une pneumonie, et fût mise en isolation”. En d’autres mots, aussi tôt que la deuxième semaine de décembre, les docteurs de Wuhan étaient conscients de cas indiquant une transmission entre humains.
Le 15 décembre 2019, selon une investigation maintenant supprimée étant rédigée exclusivement en langue chinoise par le média Caixin, un livreur de 65 ans travaillant au marché de fruits de mer de Huanan présentait des symptômes de la fièvre. Trois jours plus tard, il se renda au département d’urgences de l’Hôpital Central de Wuhan pour consulter un docteur.
Cela corrobore les constations de la docteure Ai Fen. Dr Ai Fen est la directrice du département d’urgences de l’Hôpital Central de Wuhan. Elle dit qu’aussi tôt qu’en date du 16 décembre, un(e) patient(e) ayant une haute fièvre pour ”des raisons inconnues” s’était rendu(e) au département d’urgences pour être traité(e).
Puis, le 21 décembre, les docteurs de Wuhan ont constaté un groupe de cas de pneumonie sans cause connue.
Ensuite, selon le média chinois Caixin, Professeur Zhao Su, le médecin-chef du Département de la Médecine Respiratoire de l’Hôpital Central de Wuhan, un échantillon d’un de ces patients fut envoyé à une agence tierce-partie nommée ”Guangzhou Weiyuan Gene Technology Co.” afin d’effectuer une analyse génétique.
Le 25 décembre 2019, selon la docteure Lu Xiaohong, directrice du département des maladies du système digestif à l’hôpital #5 de Wuhan (No. 5 Hospital), du personnel médical de deux hôpitaux de Wuhan étaient des cas présumés d’avoir contracté une pneumonie viral et ont été mis en quarantaine. Il s’agit là d’une autre preuve convaincainte de transmission entre humains.
Le 26 décembre 2019, selon le docteur Zhang Jixian, directeur du département de la médecine respiratoire et des soins intensifs de l’hôpital de Xinhua (province du Hubei), ce jour-même, elle a elle-même reçu quatre patients qui présentaient une ”pneumonie de cause inconnue” consécutivement.
Le 27 décembre est une date très importante : ce jour-même, le docteur Zhang Jixian rapporte à l’hôpital et au centre de prévention des maladies de Hanjiang à Wuhan que ”quatre patients avec une pneumonie de cause inconnue” ont été détectés.
Les 28 et 29 décembre, trois patients avec des symptômes smilaires (pneumonie virale) furent admis à l’Hôpital de Xinhua.
Xia Wenguang, director-député de l’Hôpital de Xinhua, convoqua des experts à une réunion, et tous étaient d’accord que les symptômes que présentaient ces patients étaient hors de l’ordinaire. Xia Wenguang rapporta cela directement aux commissions de la santé de la ville de Wuhan et de la province du Hubei, ainsi qu’au département de la santé publique de l’Hôpital Central de Wuhan. Le même après-midi, les commissions de la santé de la ville de Wuhan et de la province du Hubei notifièrent tous les centres de prévention de maladies (CDC) aux niveaux provincial, municipal et des districts.
Le 27 décembre, le résultat de Weiyan Gene Technology Co. fut dévoilé. Ils notifièrent par téléphone l’hôpital qu’il s’agissait d’un nouveau coronavirus. Le professeur Zhao Su a dit qu’à ce stade, le patient avait déjà été transféré à l’Hôpital Tongji de Wuhan.
Le résultat de ce test fut plus tard publié dans la version anglophone du Chinese Journal of Medical Sciences (journal chinois des sciences médicales) le 27 janvier, avec le titre “Identifying a Novel Coronavirus that Causes Severe Pneumonia in Humans: A Descriptive Study” (”Identifier un nouveau coronavirus causant une pneumonie sévère chez l’humain : une étude descriptive”).
Une autre source, publiée par le compte WeChat ”Winjor” le 28 janvier, discute de la même découverte dans un article nommé“A Record of Discovering the Novel Coronavirus First”. L’auteur indique qu’il travaillait dans une entreprise privée située à Huangpu dans la ville de Guangzhou, province de Guangdong. Le 27 décembre, leur laboratoire assembla quasi-complètement le séquençage du génome du virus, et ces données furent aussi partagées avec l’Institut des Pathogènes de l’Académie Chinoise des Sciences Médicales, affilié à l’état chinois.
L’article de Winjor indique : ”On peut essentiellement confirmer que l’échantillon de ce patient contient réellement un nouveau virus, similaire aux coronavirus SRAS des chauve-souris”.
”L’information obtenue à cette date était que le patient était retourné à sa ville de résidence et que la possibilité qu’il ait été en contact avec des chauve-souris ne peut être exclue. Après avoir réalisé la sévérité du risque potentiel, le laboratoire a été complètement lavé et désinfecté, les échantillons fûrent détruits sans danger, et les membres du personnel de cette opération expérimentale furent mis sous surveillance adéquate. Ils ont communiqué avec le docteur avant midi, et le patient fut également mis en quarantaine”.
De ce compte, on peut s’apercevoir que la laboratoire a saisi l’ampleur du problème. En conséquent, celui à la tête de la compagnie a communiqué par téléphone avec l’hôpital le jour-même avec le CDC de Wuhan le jour suivant, soit le 28 décembre. Il s’est même personnellement rendu à Wuhan les 29 et 30 décembre pour communiquer en personne avec l’hôpital et le CDC de Wuhan, et partagea avec eux les résultats de l’analyse.
Winjor dit dans cet article qu’il était très nerveux lorsque les résultats démontrèrent qu’il s’agissait d’un nouveau virus très similaire aux coronavirus SRAS de chauve-souris, et il prédit un ”grave problème de santé publique”.
Il dit, lorsqu’il réalisa qu’ils avaient possiblement découvert un nouveau virus, il était aussi nerveux qu’excité. Il était nerveux, car ce nouveau virus pourrait être aussi terrible que le SRAS; il était excité, car ils avaient identifié le pathogène très tôt et avaient isolé les patients et qu’il était donc possible d’éliminer le virus avant qu’il se répande!
Cependant, il se sentait très en colère, déçu et peiné que malgré leurs efforts ardus d’identifier le virus, le rapport officiel indiqua tout de même qu’aucune transmission entre humains n’avait été trouvée, et d’ensuite voir la situation se dégénérer et la nation entière devenir affectée. Ce n’est pas à cause d’un aspect scientifique ou technologique que les choses en sont venus ainsi, mais à cause des décisions du gouvernement ainsi que des faux rapports des médias.
Aussi le 27 décembre 2019, un homme de 41 ans nommé Chen s’est rendu à l’Hôpital Centrale de Wuhan pour être traité. Son échantillon (de test) fût envoyé à une autre entreprise nommée BEIJING BOAO MEDICAL LABORATORY pour être analysé.
Le 30 décembre 2019, l’Hôpital Central de Wuhan obtenu un échantillon d’un autre patient âgé de 41 ans, dont le surnom est aussi Chen. L’échantillon fut envoyé à Shanghai pour être analysé le 3 janvier. Nous discuterons des détails prochainement.
Le 30 décembre 2019, BEIJING BOAO MEDICAL LABORATORY renvoya au médecin le rapport de l’analyse de l’échantillon du patient, et le résultat s’agissait de ”SRAS coronavirus”. Un expert a plus tard rapporté à Caixin que ce résultat était une erreur, disant ”leur banque génétique n’est pas assez complète, ou n’a pas été revue, alors ils ont fait une petite erreur; en effet, ce n’est pas la même chose que le SRAS; c’est un nouveau type de coronavirus.
Cependant, à cause de cette erreur, le terme ”SRAS” avait attiré l’attention de plusieurs docteurs.
Le même jour, Dr Ai Fen, directeur du département d’urgence à l’Hôpital Central de Wuhan, partagea un rapport détaillant un contagieux virus SRAS-esque dans le groupe WeChat de son département. Elle a plus tard été réprimandée par l’hôpital pour avoir ”semé des rumeurs”.
Elle a également parlé à son collègue, le Dr Li Wenliang, qui est plus tard devenu un sonneur d’alerte de l’éclosion. Dr Li Wenliang était également un membre du Parti Communiste de Chine. Il avait écrit sur les médias sociaux que sept personnes avaient contracté le virus SRAS-esque. Il publia une analyse d’ARN qui montrait des coronavirus SRAS-esques ainsi que de nombreuses colonies de bactéries chez le patient.
Aussi le 30 décembre, circula sur internet une notification d’urgence émise par la Commission de la Santé de Wuhan disant que ”des patients avec une pneumonie de cause inconnue ont été trouvés dans certains instituts médicaux de la ville”. La notification ordonnait à tous les hôpitaux de rapporter toute information liée, mais interdisait aux instituts et individus de divulguer quoi que ce soit publiquement. La notification omettait quelconque mention de SRAS ou de coronavirus.
Le 31 décembre 2019, la Commission de la Santé de Wuhan nofitia le public de la pneumonie pour la première fois, mentionnant que 27 cas de ”pneumonie virale” avaient été détectés à Wuhan, et que ”l’investigation n’a jusqu’à présent démontré aucun signe évident de transmission inter-humaine et [qu’] il n’y a pas d’infection parmi le personnel médical”. C’est le contraire que ce que les docteurs travaillant avec les patients infectés à Wuhan avaient observé, et deux docteurs étaient déjà présumés avoir contracté le virus.
Le meme jour, une équipe d’experts de la Commission Nationale de la Santé fut envoyée à Wuhan afin de ”guider” l’effort de contrôle de l’épidémie.
Il vaut la peine de noter qu’alors que les gens à Wuhan étaient complètement ignorants au fait qu’une contagieuse épidémie fatale avait déjà apparu à Wuhan, Taïwan agit en premier. Comme réponse à l’épidémie de pneumonie ayant lieu à Wuhan, Taïwan initia le 31 décembre des mesures de contrôle afin de vérifier auprès des passagers venant de l’étranger leur température, leur historique de voyage, leur exposition à des cas connus, etc. dans un effort d’empêcher l’épidémie d’entrer à Taïwan.
Le développement de la situation a plus tard démontré que Taïwan fut un des pays les moins touchés par le CCP Virus, bien parce qu’ils ne ne faisaient pas confiance au Parti Communiste de Chine ni à l’Organisation Mondiale de la Santé; elle ne se fia qu’à ses propres informations pour guider ses prises de décisions.
Alors, en date du 31 décembre, la dernière journée de 2019, au moins neuf échantillons de patients avaient été récoltés afin d’être analysés, et les résultats ont aussi démontrés un novel coronavirus SRAS-esque. Ces résultats furent ensuite rapportés à leurs hôpitaux respectifs et également aux systèmes de la Health Commission et CDC (Center of Disease Control). Cependant, aucune mesure préventive ne fût prise.
Caixin (média) l’a mis ainsi : ”en regardant derrière, aux derniers jours de 2019 ainsi qu’au début de l’année 2019, on voit maintenant que c’était un moment crucial qui détermina le destin d’un nombre immesurable de personnes. Mais à ce moment, le public ne savait pas encore quelles conséquences ce virus nous apporterait dans le futur”.
OK, prenons une pause pour l’instant, et continuous de discuter ce qui se passa en 2020 dans notre prochain épisode. Merci d’avoir regardé cette vidéo, et s’il-vous-plaît vous abonner à ma chaîne et la partager, car la vérité peut sauver des vies dans ce moment critique et sans précédent de l’histoire humaine.
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